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 H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA

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Elphea
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MessageSujet: H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA   H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA Icon_minitimeSam 29 Mar - 16:12

H.I.V - PRIMO-INFECTION

Synthèse Dr H. Raybaud 15/09/1998
Source: Sécrétariat d'état à la sante - Avril 1998

Le diagnosctic trés précoce des primo-infections symptomatiques présente un intérêt majeur en permettant une prise en charge rapide par des traitements ayant un impact significatif sur le développement de l'infection.

D'autre part, un patient asymptomatique peut venir consulter sur une " prise de risque ", généralement sexuelle mais également un partage de seringue, blessure sur un soin, etc.... La question du " traitement antirétroviral aprés exposition ". va se poser.Il n'est plus réservé aux contaminations professionnelles et nécessite de diriger le patient vers un service d'urgence ou un praticien hospitalier référent. Son succés est conditionné par la précocité de la mise en route (au plus vite, au mieux dans les 12 heures, au pire dans les 48 heures) et la stricte observance
En pratique, l'évaluation du risque peut être difficile et - pour le moins - un contact téléphonique avec le référent une sage attitude
Quelle que soit la décision, la prise en charge doit intégrer des dimensions thérapeutiques, sociales et psychologiques.

SEMIOLOGIE

Les signes cliniques débutent généralement vers le 15ème jour aprés la contamination. mais sont peu spécifiques.
$ pseudo-grippal ou $ pouvant évoquer une MNI
---- Fièvre, céphalées, asthénie
---- Eventuellement : éruption cutanée (rash), ulcérations des muqueuses buccales ou génitales
---- Adénopathies multiples multiples apparaissant dans la seconde semaine d'évolution.
---- Diarrhée et candidose orales moins fréquentes mais évocatrices
---- Les formes neurologiques précoces, plus rares, sont parfois graves
L'évolution se fait sur plusieurs semaines

BIOLOGIE

L'antigénicité p24 est le test de référence du diagnostic de primo infection.
Il est présent dans 90% des cas dés J14 et précède donc l'apparition des anticorps de 8 à 30 jours
l'agP24 disparait au bout de 10 jours quand apparaissent les anticorps
Sa positivité conduit à une hospitalisation dans un centre spécialisé.

Associer une récherche d'Anticorps anti-HIV par un test Elisa . Sa positivité est possible dés J22-26 aprés la contamination. Il doit être confirmé par un Western blot. Il n'est pratiqué qu'à titre de référence. Sa négativité dans cette phase précoce n'est pas décisionnelle.

NB : la recherche d'ARN HIV n'est pas indiquée dans cette phase de diagnostic. Elle sera effectuée dans le bilan pré-thérapeutique et le suivi du patient

BIOLOGIE POSITIVE

Hospitalisation rapide dans un service spécialisé.

BIOLOGIE NEGATIVE

La négativité des 2 tests ( agP24 et AC anti HIV) ne permet pas d'éliminer à 100 % une contamination
La vigilance, les conseils de prévention et un soutien psychologiques doivent être maintenus.
Seule une recherche d'anticorps anti-HIV par un test Elisa 3 mois aprés l'exposition au risque permettra d'affirmer un diagnostic de non contamination.
Question : La recherche d'ARN HIV permet-elle de raccourcir ce délai d'attente ? Seule la possibilité de faux-positifs semble avoir été signalée.

En cas de risque évalué important, la décision d'un " traitement antiviral aprés exposition " doit être prise et nécessite donc l'intervention d'un praticien hospitalier référent.


Dernière édition par Elphea le Sam 29 Mar - 16:36, édité 2 fois
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MessageSujet: Stigmatisation et discrimination   H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA Icon_minitimeSam 29 Mar - 16:14

Stigmatisation et discrimination: «Vivez et laissez vivre»

Stigmatisation et discrimination – tel est le thème de la Campagne mondiale contre le SIDA pour les deux années 2002 et 2003.
La stigmatisation et la discrimination sont les principaux obstacles à la prévention et la prise en charge efficaces du VIH/SIDA.
La crainte de la discrimination peut empêcher les gens de demander un traitement contre le SIDA ou de reconnaître publiquement leur statut VIH.
Les personnes infectées, ou présumées infectées, par le VIH peuvent être renvoyées des services de soins ; on peut leur refuser un logement ou un emploi ; leurs amis et collègues les éviteront peut-être ; elles peuvent se voir refuser une couverture d’assurance ou l’entrée dans des pays étrangers. Dans certains cas, elles peuvent être chassées de chez elles par leur famille, leur conjoint peut demander le divorce, et elles peuvent faire l’objet de violences physiques, voire de meurtre. La stigmatisation liée au VIH/SIDA peut s’étendre jusqu’à la génération suivante, en faisant peser une charge émotionnelle sur les enfants qui tentent peut-être de faire face au décès de leurs parents emportés par le SIDA. En mettant l’accent sur la stigmatisation et la discrimination, la Campagne encouragera les gens à briser le silence et les barrières qui font obstacle à la prévention et la prise en charge efficaces du VIH/SIDA. La bataille contre le VIH/SIDA ne pourra être gagnée que si l’on affronte la discrimination et la stigmatisation.


Dernière édition par Elphea le Sam 29 Mar - 16:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Origine de la Journée mondiale de lutte contre le sida   H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA Icon_minitimeSam 29 Mar - 16:15

1er décembre 2007
Origine de la Journée mondiale de lutte contre le sida


Au début des années 1980, alors que l’épidémie de sida progresse, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) proclame le 1er décembre Journée mondiale de lutte contre le sida.

La première édition a lieu le 1er décembre 1988.

Par la suite, cette journée devient l’occasion pour l’ONUSIDA, organisme créé par l’ONU en 1996, de publier un rapport annuel faisant le point sur l’état de l’épidémie dans le monde. Cette journée est aussi pour les médias l’occasion de parler de l’épidémie et pour les associations de lutte contre le sida de mener des actions d’information et de prévention à travers le monde.

1er décembre 2007
Origine du ruban rouge


Image hébergée par servimg.com


Après la 1ère guerre du Golfe, l'Amérique se couvre de rubans jaunes en hommage aux 70 morts américains.

Pour les milliers de morts tombés anonymement sur le front du sida, Franck Moore, artiste peintre new-yorkais, a alors l'idée d'épingler au revers de sa veste un ruban rouge.

L'idée fait ensuite son chemin parmi les responsables d'associations américaines de lutte contre le sida, qui décident d'adopter ce ruban rouge comme symbole de leur combat. En demandant aux stars de le porter, ils comptent accélérer la prise de conscience et favoriser la mobilisation.

En France cette idée est reprise lors de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre 1992, avec le succès que l'on sait.

1er décembre 2007
Journée mondiale de lutte contre le sida
Les slogans depuis 1988




2007 : Stop Sida : tenons notre promesse – Le leadership

2006 : Stop Sida : tenons notre promesse - La responsabilité

2005 : Stop Sida : tenons notre promesse - Ne tournons pas le dos au Sida

2004 : Femmes et filles face au VIH et au Sida

2003 : Stigmatisation et discrimination : Vivez et laissez vivre

2002 : Stigmatisation et discrimination : Vivez et laissez vivre

2001 : Ca me concerne... et toi ?

2000 : Les hommes font la différence

1999 : Ecouter, apprendre, vivre ! Avec les jeunes et les enfants, en campagne contre le sida

1998 : Force du changement : avec les jeunes, en campagne contre le sida

1997 : Les enfants dans un monde marqué par le sida

1996 : Unis dans l'espoir

1995 : Droits partagés, responsabilités partagées

1994 : Famille et Sida

1993 : Agissons maintenant !

1992 : Les communautés s'engagent

1991 : Unissons nos forces

1990 : Les Femmes

1989 : Nos vies, notre monde – prenons soin l’un de l’autre

1988 : Un monde uni contre le sida

1er décembre 2007
Journée mondiale de lutte contre le sida
Le sida en France


Le nombre de personnes infectées par le VIH est estimé à 134 000, dont environ 27 000 ont développé une pathologie sida.

En 2005, près de 7 000 personnes ont découvert leur séropositivité. Ce nombre est stable depuis 2003.

La transmission sexuelle reste le principal mode de propagation du VIH. Plusieurs études montrent une reprise importante des comportements à risque dans la population homosexuelle masculine. Ces prises de risque se traduisent, depuis les années 2000, par l’émergence d’infections sexuellement transmissibles telle la syphilis et par l’augmentation du nombre de découvertes de séropositivité VIH depuis 2003 dans cette population.

Chez les personnes d’Afrique subsaharienne vivant en France, le nombre de cas de sida a fortement augmenté entre 1998 et 2002, en association avec un dépistage souvent tardif. Depuis 2003, une tendance à la diminution du nombre de cas de sida et de découvertes de séropositivité est observée, dans un contexte d’une amélioration récente du dépistage. Les personnes d’Afrique subsaharienne restent fortement touchée par la précarité, ce qui peut induire des difficultés de suivi des traitements, avec un risque d’échecs thérapeutiques.

Au cours des 10 dernières années, les trithérapies ont prouvé leur efficacité. Le nombre de cas de sida a fortement chuté passant de 4 000 en 1996 à 1 200 en 2005, ainsi que les décès liés au sida (de 3 000 à 400). Ces traitements permettent aux personnes connaissant leur séropositivité de retarder l’apparition du sida. Hélas, un certain nombre de personnes infectées par le VIH ignorent leur séropositivité. Elles sont dépistées tardivement, souvent à l’occasion du diagnostic d’une pathologie sida, avant d’avoir pu bénéficier d’antirétroviraux.

1er décembre 2007
Journée mondiale de lutte contre le sida
Le sida dans le monde


En 2006, 39, 5 millions de personnes vivaient avec le VIH/sida, dont 24, 7 millions en Afrique subsaharienne et 7, 8 millions en Asie du Sud et du Sud-Est.
Cette même année, 4, 3 millions de nouvelles infections se sont produites et 2, 9 millions de décès dus au sida ont été enregistrés. Près des ¾ (72 %) de tous ces décès se sont produits en Afrique subsaharienne. Parmi les adultes de 15 ans et plus, les jeunes âgés de 15 à 24 ans ont représenté 40 % des nouvelles infections.

Depuis 2004, le nombre de personnes vivant avec le VIH a augmenté dans chacune des régions du monde. Les augmentations les plus frappantes ont eu lieu en Asie de l’Est et en Europe orientale et Asie centrale.

A l’échelle mondiale et dans chaque région, le nombre de femmes adultes (15 ans et plus) vivant avec le VIH est plus élevé que jamais.
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MessageSujet: Sidaction   H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA Icon_minitimeSam 29 Mar - 16:23

Canada : défendre "Diane", c’est aussi nous défendre toutes et tous

Une injustice que nous refusons !

Pour notre amie "Diane" qui a été reconnue coupable d’agression sexuelle pour ne pas avoir dévoilé son statut sérologique positif au VIH lors d’une relation sexuelle. Nous vous invitons à lire cette traduction d'un texte écrit par des proches de la victime.


"Quand nous sommes perdus,
Ceci est notre prière,
Quand nous perdons notre chemin,
Guidez-nous vers le bon endroit,
Guidez-nous avec Votre grâce,
Dans un lieu où nous nous sentirons en sécurité."

La semaine dernière, les paroles et la mélodie de la chanson «Prière» (chantée par Céline Dion et Josh Groban) ne sont pas sorties de nos têtes. Nous avons vécu un drame et nous voulons vous en parler.

Nous essayons d’aider une amie québécoise qui nous est très chère à retrouver SON chemin vers un lieu où elle se sentira en sécurité. Nous sommes avec elle et son fils depuis le mois de janvier 1994, alors que nous l’avons connue par l’entremise d’un ami, un travailleur social qui travaille exclusivement auprès des personnes vivant avec le VIH/sida. À cette époque, son petit garçon n’avait que trois ans. À son insu, elle avait contracté le VIH par son mari, le père du petit garçon, avec lequel elle était mariée depuis trois ans, c’est-à-dire, depuis 1988. Elle a su qu’elle avait été infectée seulement une semaine après le décès de son mari, en 1991. (Tous deux ne savaient pas qu’il était infecté. Pendant trois ans, ils ont eu une vie conjugale normale). Lorsqu’elle a découvert qu’elle avait contracté le VIH, elle a été dévastée, mais ayant appris que son fils était en santé à 100 %, elle a entrepris de lui trouver des parents dans l’éventualité où elle décéderait. Nous nous sommes engagés envers elle à devenir les parents de son fils quand le moment viendrait. Depuis, nous sommes restés avec elle. Elle a vécu beaucoup plus longtemps que prévu et nous n’avons pas eu à devenir «parents». Elle et son enfant sont une partie extraordinairement enrichissante de nos vies. Ensemble, nous avons connu de grands moments de bonheur. À un moment donné, afin de solidifier la relation et l’aider quand son état de santé a décliné, son enfant est venu vivre avec nous pendant environ six mois, en octobre 1994, juste après que nous ayons eu le bonheur d’avoir notre cher enfant. Pendant quelque temps, nous avons eu deux enfants ici – un bébé et un enfant de trois ans.

Au cours de l’été de l’année 2000, pendant une partie de soccer de son fils, elle a rencontré le père d’un coéquipier de son fils. La relation s’est développée. Elle a suivi les conseils professionnels de tous les médecins, de tous les professionnels qui l’aidaient et, quand la relation est devenue intime, elle s’est protégée. Les professionnels de la médecine lui ont dit (comme ils le font d’ailleurs à toute personne dans la même situation) que TANT QU’ELLE PRATIQUAIT DES RELATIONS SEXUELLES PROTÉGÉES, son partenaire serait totalement en sécurité et que, de cette façon, elle N’ÉTAIT PAS tenue de dévoiler son statut au début (c’est-à-dire la première ou la deuxième fois). Étant donné que son fils aurait pu être stigmatisé par ses coéquipiers, si son état était connu, elle a pris la décision de ne pas informer son partenaire au début. Elle A FAIT tout ce qui lui avait été conseillé. Elle S’EST assurée qu’une protection ÉTAIT utilisée. Elle a informé son partenaire de son état avant la deuxième fois où ils ont été ensemble, lorsqu’il a commencé à lui déclarer son amour. Au début, il était abasourdi et ne l’a pas vue pendant plusieurs semaines. Puis, il est revenu pour la voir disant qu’il l’aimait et qu’il voulait rester avec elle, sa condition n’étant pas un empêchement. Ils ont fini par vivre heureux ensemble pendant environ trois ans. En 2003, les choses ont commencé à se gâter pour eux (au cours de cette période, nous ne les avons pas vus, puisque, entre autres choses, nous avions des engagements professionnels ailleurs). Avec le temps, son partenaire est devenu très contrôlant, il critiquait sévèrement son enfant et les abus verbaux se sont accrus. Le climat étant devenu malsain pour elle, et surtout pour son enfant, elle a décidé de mettre FIN à la relation. Peu après, elle est devenue victime de violence conjugale. En décembre 2004, suite à un appel au 911, la police a arrêté son partenaire. Elle s’est retrouvée à l’hôpital avec des blessures à la tête, au visage et au cou et souffrant d’un stress émotionnel. Son fils, qui lui avait sauvé la vie, a eu un bras cassé en essayant de la protéger. Ce qui était une histoire d’amour pleine de bonheur était devenu une histoire tragique !

Son ex-partenaire fut accusé et jugé coupable d’agression en 2005. Juste avant que sa sentence soit rendue (essayant apparemment d’être acquitté), il a divulgué qu’ELLE était séropositive. Il l’a accusée d’avoir eu des relations sexuelles NON PROTÉGÉES avec lui quand ils sont devenus intimes pour la première fois, cinq ans auparavant, soit en 2000, ET qu’elle ne lui avait pas avoué son statut. Elle, une victime de violence conjugale, qui avait suivi à la lettre les conseils professionnels qu’elle avait reçus, a été accusée d’agression criminelle. L’homme, séronégatif et jugé coupable de l’avoir battue, a, au moment de faire cette accusation, reçu un pardon inconditionnel. (!!!)

Le jour de la Saint-Valentin 2008, exténuée après des mois d’audiences, dans un état de santé de plus en plus fragile, et maintenant en faillite, elle a écouté la décision du juge. Elle a été jugée COUPABLE. Le juge a décidé qu’elle n’était pas crédible, même si elle avait reçu l’appui total de son équipe médicale et des professionnels médicaux spécialisés dans ce domaine. Plusieurs autres personnes, dont nous-mêmes, ont aussi témoigné de ses qualités en matière d’éthique et d’honnêteté.

Le 14 mars, elle fera face à une sentence d’emprisonnement. Son fils (maintenant âgé de 17 ans) risque de perdre sa maman. Leur relation, si proche et remplie d’amour, est sur le point d’être physiquement rompue. Le fait que SA vie pourrait être ruinée par quelque chose de TOTALEMENT MENSONGER nous dégoûte. Il n’est pas question que nous restions les bras croisés et laissions une telle chose se produire !

Après s’être écroulée sous la tension, notre amie a passé la nuit de la Saint-Valentin à l’hôpital. Par la suite, elle a passé quelques jours avec nous afin que nous puissions l’aider. Elle est repartie ces derniers jours. Elle reprend ses forces graduellement...pour continuer.

Quand nous l’avons rencontrée pour la première fois, notre amie était belle, jeune, intelligente, la « voisine d’à coté » qui avait assumé pendant 16 ans un poste de responsabilité dans une grande entreprise. Elle est encore la même merveilleuse mère dévouée à son fils, celle que nous avions
rencontrée pour la première fois. Sous un voile de tristesse et de désespoir, elle demeure la fille dynamique qui aime la musique, la nature, la lecture, monter à cheval, faire du ski et du parachutisme (!!) et SURTOUT son enfant. Nous voulons l’aider à retrouver l’endroit où elle se sentira en sécurité. Avec tous ceux qui veulent l’aider nous ALLONS faire en sorte qu’elle revienne…au moins pour qu’elle vive le reste de ses jours en femme LIBRE.

Pour information, La Fondation québécoise du Sida et Fréquence VIH ont lançé un appel à don pour obtenir les 30 000.00$ nécessaires à l’appel de sa sentence.


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MessageSujet: Re: H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA   H.I.V - PRIMO-INFECTION-SIDA Icon_minitimeSam 29 Mar - 16:47

Sidaction


Image hébergée par servimg.com


Sidaction est une association de lutte contre le sida. Fondée en 1994, elle est un collectif unique de chercheurs, d'associations de lutte contre le sida et de personnalitées comme sa vice-présidente, Mme Line Renaud. Sidaction est présidée par M. Pierre Bergé ; l'association à pour objectif le développement de la lutte contre le sida par la collecte de fonds et l'allocation de ses fonds à la recherche scientifique et médicale, l'amélioration de la qualité de la vie des personnes vivant avec le VIH, la prévention et l'accès aux soins et aux traitements. Son action prend place en France mais aussi dans 29 pays en développement, sur 4 continents.

Le "Sidaction 2008" est l'opération de collecte de fonds et de sensibilisation du public. Elle a lieu du 28 au 30 mars 2008.

L'action de Sidaction dans le domaine de la recherche scientifique et médicale

L'action de Sidaction dans les pays en développement

L’engagement de Sidaction dans les pays en développement et en transition a débuté dès 1994. Il s’inscrit dans une démarche de développement. Sidaction a en effet choisi de soutenir des associations locales sur le long terme en leur apportant un appui financier et un accompagnement technique à la mise en place de projets de soins, d’aide aux malades et de prévention. Les structures soutenues par Sidaction sont indépendantes des Etats. Ce sont des associations de terrain à base communautaire, engagées dans des actions au sein desquelles les personnes malades et leurs proches participent à la vie associative à tous les niveaux

Sidaction 2008 :
trois jours de mobilisation sous le thème "L'égalité des chances"


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Le Sidaction 2008 est lancé pour trois jours de mobilisation et de solidarité sous le thème "L'égalité des chances". Les personnes souhaitant faire un don pour financer la recherche sur le VIH/SIDA peuvent notamment téléphoner au numéro gratuit 110, numéro d'appel gratuit ouvert jusqu'au 11 avril.

Vendredi à 21h, le compteur affichait près de 412.000 d'euros de promesses, sur le site web du Sidaction.

L'événement, qui se tiendra jusqu'à dimanche, permet de sensibiliser le public et d'insister sur l'importance de la prévention. Durant les trois jours de collecte, 11 chaînes de télévision et 5 radios doivent se mobiliser et unir leurs efforts en ouvrant leurs antennes et en informant le public sur le VIH/SIDA.

Dans de nombreuses villes, des événements sportifs ou culturels et des animations, qui sont l'occasion de collecter de dons, sont également organisés tout au long du week-end.

Aujourd'hui, quelque 33 millions de personnes à travers le monde sont séropositives et toutes les dix secondes, une personne meurt du SIDA, selon l'association AIDES.

Pour faire un don:

-par téléphone: le 110, numéro d'appel gratuit ouvert jusqu'au 11 avril.

-par sms: le 33 000, ouvert du 17 mars au 11 avril 2008.

-par internet: le http://www.sidaction.org .
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